La culture japonaise c'est le manga, les jeunes aux cheveux roses fluo en tenues absolument déjantées, les villes grouillantes, les écrans et néons clignotants comme dans Blade Runner - et son contraire: le dépouillement, la sérénité, l'harmonie, les choses réduites à leur essence la plus pure.
C'est le concept du wabi-sabi, d'une esthétique qui accepte être éphémère, d'une beauté vouée à disparaitre comme les fleurs des cerisiers fanées à peine écloses....
Les Femmes du Panier ont déjà fait honneur à la culture japonaise lors de la semaine du haïku, poème de quelques syllabes à peine, capturant un instant presque banal, fugace et émouvant.
TAKO SAN, notre petite gargote nippone bien aimée, exposera des céramiques japonaises, Mino Yaki, c'est à dire une céramique fabriquée dans la région de Mino, au centre du pays.
Objets du quotidien, bols, petit gobelets, pots se distinguent par leur simplicité, leur sobriété et leur élégance sans prétention. Ils sont des parfaits symboles de la précarité des choses et c'est justement leur fragilité qui leur confère leur charme. Contrairement à l'approche occidental, la céramique japonaise renonce à l'individualisme artistique. Ce n'est pas la perfection sans faille que l'artisan cherche. En acceptant l'imperfection naturelle un lien s'installe entre celui qui crée et l'utilisateur final, tous les deux s'acceptant que simples maillons d'une chaîne qui relie le passé au présent et se prolongera dans l'avenir.
Plongez vous dans l'atmosphère sereine en sirotant un thé vert et délicat dans une jolie coupe qui se fond dans votre main et dégustez une des spécialités de Vinciane et Niho: Omoittata ga kichijitsu (Le bon jour pour faire quelque chose, c'est le jour où l'on a décidé)
C'est le concept du wabi-sabi, d'une esthétique qui accepte être éphémère, d'une beauté vouée à disparaitre comme les fleurs des cerisiers fanées à peine écloses....
Les Femmes du Panier ont déjà fait honneur à la culture japonaise lors de la semaine du haïku, poème de quelques syllabes à peine, capturant un instant presque banal, fugace et émouvant.
TAKO SAN, notre petite gargote nippone bien aimée, exposera des céramiques japonaises, Mino Yaki, c'est à dire une céramique fabriquée dans la région de Mino, au centre du pays.
Objets du quotidien, bols, petit gobelets, pots se distinguent par leur simplicité, leur sobriété et leur élégance sans prétention. Ils sont des parfaits symboles de la précarité des choses et c'est justement leur fragilité qui leur confère leur charme. Contrairement à l'approche occidental, la céramique japonaise renonce à l'individualisme artistique. Ce n'est pas la perfection sans faille que l'artisan cherche. En acceptant l'imperfection naturelle un lien s'installe entre celui qui crée et l'utilisateur final, tous les deux s'acceptant que simples maillons d'une chaîne qui relie le passé au présent et se prolongera dans l'avenir.
Plongez vous dans l'atmosphère sereine en sirotant un thé vert et délicat dans une jolie coupe qui se fond dans votre main et dégustez une des spécialités de Vinciane et Niho: Omoittata ga kichijitsu (Le bon jour pour faire quelque chose, c'est le jour où l'on a décidé)
36 rue du Petit Puits
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