Il aura 40 ans l'année prochaine, ce qu'annonce ce jeunot sur le c.v. de son blog. Dans le même c.v. il nous apprend aussi qu'il a eu un découvert bancaire pendant son passage à la prépa d'ENS Cachan, qu'il a beaucoup appris lors de ses études de design industriel mais peu dormi, qu'il a pendant 5 ans exercé le très utile métier de plombier avant de se lancer à plein temps dans la peinture quand sa compagne s'est trouvée enceinte mais qu'il est resté lucide concernant le temps qu'il va falloir pour être célèbre - il pense à une période d'attente d'environ 80 ans - et qu'il a fondé en attendant la gloire définitive une agence de communication par la BD. La chance lui sourit en rencontrant Pascaline Zicavo qui lui propose d'exposer dans sa GALERIE INVISIBLE. On peut donc espérer qu'il n'aura pas à attendre encore deux fois quarante ans avant que des collectionneurs s'intéressent à son travail et que les collectionneurs qui ont déjà acheté une de ses toiles pourraient à leur tour profiter de sa célébrité.
On ne parlera pas ici de son travail dans la BD hormis de l'album qu'il a fait en collaboration avec le neurologue Pierre Genton autour de l'épilepsie et distribué en Afrique où cette maladie reste mal compris et donc stigmatisé par le grand public.
Chez Pascaline Vincent Ringler, car c'est bien lui dont on parle ici, expose des paysages urbaines réalisés uniquement sur le dos d'affiches récupérées sur les murs des villes. Il y explose les perspectives, il laisse s'éclater formes et couleurs pour ainsi créer l'impression de vitesse, d’accélération, de chaos, de bruit et d'une certaine violence qui caractérisent nos métropoles contemporaines.
On ne parlera pas ici de son travail dans la BD hormis de l'album qu'il a fait en collaboration avec le neurologue Pierre Genton autour de l'épilepsie et distribué en Afrique où cette maladie reste mal compris et donc stigmatisé par le grand public.
Chez Pascaline Vincent Ringler, car c'est bien lui dont on parle ici, expose des paysages urbaines réalisés uniquement sur le dos d'affiches récupérées sur les murs des villes. Il y explose les perspectives, il laisse s'éclater formes et couleurs pour ainsi créer l'impression de vitesse, d’accélération, de chaos, de bruit et d'une certaine violence qui caractérisent nos métropoles contemporaines.
Invisible Galerie
2 rue du Petit Puits
du lundi au samedi de 14h à 18h et sur rendez-vous
06.18.17.27.82
Exposition "Ah qu'elle est belle"
du 7 juin au 4 juillet 2012
Vernissage jeudi le 7 juin à partir de 18h30
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